ACTE I Si on jouait à se faire peur ?

Dans une pénombre aux bruits étranges…se dessine un mooonnnnde en noir et blanc. Un paysage déstructuré, intemporel … une forêt géométriquement modifiée.
Surprise dans son sommeil, une jeune femme s’éveille, tandis que quelqu’un s’approche sournoisement.
À la lueur d’un faisceau de lampe torche s’installe une angoisse muette.
Les deux personnages oscillent entre candeur et terreur, mais il manque une dimension à l’épanouissement de leurs jeux … L’ennui guette !

ACTE II Tchikita réchito mahouaiya !

À l’irruption soudaine du son et du rythme viennent très vite faire échos les couleurs. À travers une exploration ludique des couleurs, nos deux personnages, vont vivre une palette d’émotions.
Au fils du jeu,
les caractères et les préférences s’affirment.
Chacune se reconnaît dans une couleur et essaye de l’imposer à l’autre…

ACTE III J’te cause plus.

La dispute éclate alors la scène en deux espaces dans lesquels l’une et l’autre s’enferme seule face à ses envies.
Une moitié rouge, où l’une nous fait son cirque entre acrobatie, équilibre et jonglerie.
Un côté vert, comme un jardin d’enfant où l’autre s’élance dans une exploration frénétique du mouvement.

ACTE IV Pouce ! ! !

Et si tu me racontais ta couleur ?
Pour sortir de son monde monochrome où l’on finit par tourner en rond, il faut partager, s’ouvrir à l’autre.
La curiosité succède à l’individualité.
L’harmonie s’installe.
Communication, échange, contact, nuances, tolérance, mélange, écoute, plaisir…

 


il était une fois...
bande annonce
scénario
galerie photos
extraits vidéo
reportage
représentations
technique